tag:blogger.com,1999:blog-4423838065452293742.post4027238241458299361..comments2012-08-28T00:03:18.426+01:00Comments on Hapax: Sous les galets - la plage -B.http://www.blogger.com/profile/06949136321725934058noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-4423838065452293742.post-46883768208379587472007-07-28T10:07:00.000+01:002007-07-28T10:07:00.000+01:00Et l'on défait les mailles du monde...« Devant lui...Et l'on défait les mailles du monde...<BR/><BR/>« Devant lui il y avait ce rideau baissé encore, mais remué de souffles et traversé de lumières, contre lequel les feux de la rampe attendait de flamber. Entre les deux le temps qui était bon à prendre. » <BR/>« On eut dit que le monde tissé par les hommes se défaisait maille à maille : il ne restait qu’une attente pure, aveugle, où la nuit d’étoiles, les bois perdus, l’énorme vague nocturne qui se gonflait et montait derrière l’horizon vous dépouillaient brutalement. »<BR/>Gracq, Un balcon en forêt.B.https://www.blogger.com/profile/06949136321725934058noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4423838065452293742.post-5290334809959042762007-07-27T17:02:00.000+01:002007-07-27T17:02:00.000+01:00et c'est la forme qui nous prend......« Il ne faud...et c'est la forme qui nous prend...<BR/><BR/>...<BR/><BR/>« Il ne faudrait qu’attendre, pensa-t-il encore. Seulement attendre. Mais il y a quelque chose de défendu à attendre cela. (…) Le monde ne parle pas, songea-t-il, mais, à certaine minutes, on dirait qu’une vague se soulève du dedans et vient battre tout près, éperdu, amoureuse, conter sa transparence, comme l’âme monte quelquefois au bord des lèvres.»<BR/><BR/>Gracq, Presqu'îleAnonymousnoreply@blogger.com